[Axel Martinez]

Les débuts avec Easycatalog sont durs et laborieux. Nous avons pensé avec toute l’équipe d’Easycatalog France à vous proposer des sortes de petits articles qui vont permettront de connaître un peu mieux le plug-in et voir les étapes d’une automatisation.

Toute réalisation avec ce plug-in commence par la création/gestion d’une source de données. Le travail sur cette source peu impressionner (c’est souvent long à mettre en place, ne nous le cachons pas). Cependant, une fois ce travail fait, vous allez gagner un temps fou sur votre travail de mise en page. À vous les pauses café !

1ère étape : La donnée

Avant de commencer, laissez-moi vous lister les principaux types de données que vous pouvez rencontrer :

• Excel (xls/xlsx) : Sûrement la source de données la plus utilisée avec Easycatalog de part sa simplicité mais aussi la disponibilité de son logiciel sur les différents ordinateurs.

• CSV : Beaucoup de personnes le confondent avec un XLS, mais non ! Il faut bien comprendre que le CSV est un fichier de type texte, qui a généralement pour séparateur d’informations un point-virgule. Le CSV, c’est le fichier d’export de la donnée par excellence !

• XML : EXtensible Markup Language de son vrai nom. Son anagramme sera plus facile à retenir, en tout cas ce type de données est la résultante d’une utilisation d’un logiciel de gestion de données ou d’un site web. On peut importer soit un fichier XML (export), soit un flux généré directement depuis la base/site.

• ODBC : Open Database Connectivity est un format d’export, une sorte de passerelle qui permet de créer un lien entre une base de données produits et un autre logiciel/programme. L’ODBC va récupérer vos informations via une requête SQL.

Attention : Les 2 derniers types nécessitent un module supplémentaire pour fonctionner avec Easycatalog. (qui dit module additionnel dit frais en plus)

Le point le plus important concernant votre source est qu’il vous faut un champ « clef » unique. C’est-à-dire d’avoir une colonne dont la donnée est différente pour chaque ligne. Celle-ci servira de repère à Easycatalog pour séparer chaque ligne.

La partie théorique étant finie, passons à la partie pratique. Une fois que nous avons choisi notre source, nous devons l’importer directement dans Indesign et permettre donc grâce à Easycatalog son utilisation pour une automatisation.

Pour ce faire, on utilise le menu Indesign en créant une nouvelle palette Easycatalog via le format de source choisie. Ensuite, on procède à sa configuration. En cas de problèmes ou de questions, je vous laisse poster un sujet sur ce sous-forum qui est dédié à la source de données !

Une fois tout cela effectué, mes chers amis, il ne vous reste plus qu’à créer.

J’espère que cet article vous aura plus et qu’il répondra à vos attentes concernant l’utilisation d’une source de données avec Easycatalog.

Merci de votre lecture !

Bonne journée 🙂

PS : Je tiens quand même à vous dire que cet article n’est pas un tutoriel, il vous situe sur la création/gestion de votre donnée.

Une série de sujets a été créée pour vous permettre de situer un peu mieux l’outil ou de reprendre les bases :
EasyCatalog c’est quoi ?
Partie 2 – La palette
Partie 3 – Les options de champs
Partie 4 – Les groupements

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